Pour les Psy (chiatres, analystes, ologues), le genre humain peut se diviser en 2 grandes catégories : les névrosés et les pervers narcissiques.
Les premiers passent leur vie à se remettre en cause à la moindre contrariété alors que pour les seconds, tout ce qui vient perturber leur vie est nécessairement du aux autres. Inutile donc, pour ces derniers de se remettre en cause. D'ailleurs, ils considèrent que tous les psys sont des cons.
Je fais partie des premiers. Ce n'est pas toujours facile à vivre (surtout quand on est l'incarnation même de la névrose) mais je préfère encore cette situation à celle de l'autre camps qui accuse et culpabilise les autres pour justifier ses actes et surtout JOUER avec les autres.
L'un des pitoyables effets collatéraux de mon histoire avec le Lapin Crétin, c'est que je me retrouve accusée - à mon corps défendant - de recel de sentiments.
Avant moi, il y en avait une autre. J'avais trouvé honnête qu'il me l'avoue (même si il y fut un peu obligé) mais il s'est bien gardé de me donner les détails de leur histoire. Après maintes demandes de ma part sur la fin validée de leur histoire, j'ai cédé.
Il avait menti.Et il a recommencé. Je me retrouve à la place de la précédente dans la vie de la future (auprès de laquelle il a également du me faire passer pour une salope).
Je voudrais bien m'excuser auprès de la demoiselle mais je ne suis pas responsable (du moins, pas à ce propos). J'ai fait ce qu'il fallait.
Ma conscience ne me travaille pas. Mes névroses de culpabilité ne viendront pas la réveiller.
La roue tourne toujours... parfois lentement, mais elle tourne.
Tromperies en chaîne et roue qui tourne... j'aurais du me rappeler ce proverbe turc : « La roue arrière d’une voiture passera là où la roue avant est passée. »
Quelle conne... mais quelle conne!
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