mardi 13 décembre 2011

Le syndrôme de Stockholm**

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Pas facile d'illustrer le "syndrome de Stockholm"
mais ce picto "à la manière de" Ben colle bien avec les propos à venir



"Quand on voit ce qu'on voit, quand on entend ce qu'on entend... et ben on a raison de penser ce que l'on pense!".
Cette parodie d'adage me plaît.

Je vais donc l'adapter à la situation et à la teneur de ce blog :
"Quand je sais ce que je sais, quand je découvre ce que je découvre... ben j'ai raison de penser qu'un crétin est un crétin".

Je sais pertinemment que le personnage est hautement toxique (pour moi et pour tous ceux qu'il approche). J'ai été crédule par aveuglement sentimental. La cessité m'a quittée et j'y ai gagné le renouvellement de quelques neurones en parfait état de fonctionnement. Assez en tous cas pour avoir acquis avec certitude que  si Lapinus Cretinum se présentait demain sur mon paillasson et fondait en une flaque d'excuses, de pardons et de grandes déclarations, je ne craquerais pas.

Et pourtant, chaque jour, il me manque... enfin, ce n'est pas le salaud qui me manque mais les bons côtés qu'il avait, les sentiments ou envies bien endormis qu'il avait réveillé en moi, le "to be 2".
Mais comme ces bénéfices lui sont associés, je garde l'impression que c'est LUI qui me manque.

Je me fais l'effet de Patty hearst devant Willie Wolfe, son kidnappeur.

Je suis victime d'un syndrome de Stockholm amoureux.


Qui me délivrera?







** Syndrome de Stockholm : Le syndrome de Stockholm désigne la propension des otages partageant longtemps la vie de leurs geôliers à développer une empathie, voire une sympathie, ou une contagion émotionnelle avec ces derniers.
L'expression "Syndrome de Stockholm" a été inventée par le psychiatre Nils Bejerot en 1973. Ce comportement paradoxal des victimes de prise d'otage fut décrit pour la première fois en 1978 par le psychiatre américain Frank Ochberg, en relation avec un fait-divers qui eut lieu en cette même ville.
Inversement, le syndrome peut s'appliquer aux ravisseurs, qui peuvent être influencés par le point de vue de l'otage. On parle dans ce cas du syndrome de Lima1.


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9 commentaires:

  1. Ce n'est pas LUI qui te manque réellement, mais plutôt sa présence à tes côtés! Tu as besoin de quelqu'un près de toi, mais il faut bien choisir cette personne!
    (Et à la limite, il vaut peut-être mieux vivre avec un véritable ami en collocation! au moins, y a pas de dispute et on n'est pas seul)

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  2. @orfeo : je le sais que ce n'est pas lui qui me manque...
    Quant à la proposition de collocation, je vais penser à organiser un casting (uniquement masculin dès le 2 janvier.
    Critères : entre 25 et 40 ans, grand, sportif, sachant cuisiner et....
    Merci d'envoyer 2 photos...

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  3. arf je correspond pas au profil : je suis pas grand, pas tres sportif, je sais cuisiné mais seulement les plats de base...puis surtout j'ai pas encore 25 ans mdrrrrrr

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  4. @orfeo : toi je te veux pas comme coloc... j'entame une procédure d'adoption demain matin

    :))

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  5. @orfeo : Chiche! ... mais je ne suis pas certaine que je passerai les tests psy de DDASS..
    :(

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  6. rhooooo c'est pas grave, je suis déjà majeur! Mais ça empêche pas les liens du cœur d'être là. Tu es quelqu'un que j'aime énormément! (et je pèse mes mots)
    Gros bisous :)

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  7. @capiva ; parce que :
    Diam's victime de l'an 2000
    Tout les moyens sont bon pour trouver l'homme de sa vie
    PS: l'adresse e-mail c'est jeunedemoisellerecherche@hotmail.fr
    Si vous pouvez joindre 2 photos
    Parce qu'une on sait qu'c'est d'la triche
    (in Jeune Demoiselle)

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