Et si on parlait de moi?*

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* Comment ça, ce blog ne fait que ça? ôÔ

Une petit représentation de moi, simple, sans chichis,
pas maquillée, pas coiffée...

Alors, prêt(s) à embarquer?

Je n'ai pas eu le temps de vous écrire aujourd'hui.
L'envie me brûlait les lèvres (lisez la phrases jusqu'au bout, obsédés!) de m'en excuser... mais une petite voix (et même plusieurs) m'ont fait remarquer à quel point j'abusais des excuses, des pardons, des excuse-moi, des "désolée".


Si il y a UNE seule et unique personne pour laquelle j'ai créé ce blog, c'est MOI. Il existe parce que j'ai voulu prendre du recul sur cette insoutenable douleur d'abandon. Parce que j'ai souhaité analyser l'humiliation, les tromperies, etc etc, etc...

Il y a encore 20 ans, les gamines (et les grandes filles dans mon genre et dans celui de Bridget Jones) auraient acheté un petit carnet rose avec une clé qui ne ferme rien pour y coucher tout ce que j'exhibe aujourd'hui à vos yeux et puis l'aurait planqué sous un matelas ou une pile de petites culottes...

Mais le Net est AUSSI passé par là (une petite image pour illustrer ça et patienter?)

Ne vous méprenez pas... je suis heureuse que vous me lisiez. Certains se retrouvent un peu dans ma (mes) mésaventure(s), certains sourient, certains compatissent.
J'aime lire vos commentaires, traces de soutien dans cette période plus difficile que je ne le laisse parfois paraître.
Je connais certains d'entre vous, et je les remercie, du fond du coeur..., tout autant que ceux dont j'ignore l'identité.

Mais je ne m'excuserais pas, NA!


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