Comme le ton du dernier billet le laisse entendre, la digestion de la rupture n'est pas tout à fait programmée pour demain matin.
Au rayon des adages
1/ "un de perdu, 10 de retrouvés"...
Alors, si vous cumulez tout ce que vous ai appris ou laissé deviner sur le crétin (et ses prédécesseurs n'avaient que peu de choses à lui envier), autant dire que je préfère éviter de multiplier par 10 le cheptel de rongeurs débiles...
2/ "Quand on tombe de cheval, faut remonter tout de suite dessus"
(le premier qui y voit un sous-entendu ira rejoindre d'office l'équipe d'Anne Roumanoff!)
Ca aussi c'est sot (oh, une allitération!).... mais admettons. J'ai bien dit "admettons"...
Ça veut dire quoi au juste "tout de suite"?
Y'aurait-il une formule
Jeter un drap noir sur le chagrin, l'humiliation, le piétiner et sauter dans les bras de quelqu'un trop vite, ça ne porterait pas le nom de consolation?
En même temps... pourquoi m'interdire la consolation?
haaannn!!!! je ne sais pas, je ne sais plus, je suis perdue...
.
Pour le premier, je préfère dire "1 de perdu...1 de perdu!".
RépondreSupprimerPour le second, je vois déjà de mon œil de mâle en rut un sous-entendu coquin :p (et dans ce cas, "sot" peut s'écrire "saut" pour l'allitération).
Enfin, pour la formule magique...euh mathématique pardon, tu peux toujours essayer de chausser des ballerines argentées et de claquer 3 fois les talons (ou "l'étalon" si ça peut te faire plaisir).
faudrait demander à Gilbert Becaud la fin de sa chanson, il a peut être trouver la réponse depuis tout ce temps...
RépondreSupprimer@capiva : Et maintenant, que vais-je faire
RépondreSupprimerJe vais en rire pour ne plus pleurer
Je vais brûler des nuits entières
Au matin, je te haïrai
Et puis un soir, dans mon miroir
Je verrai bien la fin du chemin
Pas une fleur et pas de pleurs
Au moment de l'adieu
Je n'ai vraiment plus rien à faire
Je n'ai vraiment plus rien ...
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pas terrible comme horizon d'avenir