Le défaut de la cuirasse

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Superbus "Mes défauts"

Jennifer Ayache (fille de NUL) et moi, en plus de partager une plastique irréprochable à faire baver tous les loups de Tex Avery, avons des défauts communs (regardez donc le clip, si la chanson ne vous plaît pas, vous y trouverez d'autres intérêts)

Le (la) premier(e) qui m'affirmera qu'il est exempt de tout défaut verra son nez s'allonger irrémédiablement : des défauts, nous en avons TOUS.

Etant dotée d'une estime de moi à peu près aussi épaisse qu'un feuille de missel usée, j'ai tendance à les afficher clairement, voire à m'en rajouter quelques uns à la faveur de mes mauvais jours.

Je ne me laisse pas séduire facilement et je dresse mes défauts comme une série de barrières de steeple chase olympique. Rares sont les sportifs qui les sautent toutes (les barrières, bande de pervers!)

Je ne suis pas de celles qui minaudent et oublient volontairement d'évoquer la face de leur personnalité qui pourrait faire fuir un homme plus vite qu'Hussein Bold ne court un 100m.

Comment donc expliquer que ceux qui arrivent à rentrer dans ma vie s'avèrent des salauds. Cela va du salaud de base au bon gros pervers narcissique manipulateur (Crétinum Lapinus).

Je suis en phase de profonde tristesse car je me rappelle l'avoir prévenu à plusieurs reprises qu'une nouvelle escroquerie aux sentiments envers moi aboutirait, au mieux à une perte définitive de confiance dans la gent masculine, et au pire à .....

Et pourtant il l'a fait. Il a osé jouer. Il a osé abuser. Il a osé tromper.

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