dimanche 11 décembre 2011

I've made a dream

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J'ai fait un rêve (merci Sommeil 30!)

J'ai rêvé que je volais la De Lauréan de Marty MacFly, je remontais le temps jusqu'en juillet au premier rendez-vous.
Là, je lui collais une bonne droite derrière l'oreille droite et un coup de genou dans les balloches, je le castrais et dissolvais l'objet du délit à l'acide sulfurique, et je croisais le même Lapin, dépourvu de sa cretinum perversion narcissique.
Il gardais son indéniable intelligence mais la mettait au service de la bonne cause.
Ses "disparitions" étranges ne cachaient pas des tromperies, des arnaques mais juste un travail acharné pour remonter une situation personnelle rendue difficile par un évènement récent.
J'ai rêvé qu'il ne venait voir QUE moi.
J'ai rêvé que les projets qu'il affirmait faire avec moi n'étaient pas que des paroles destinées à endormir ma vigilance.

Et je me suis réveillée, la De Lauréan était redevenue Citrouille. Les pantoufles au pied du lit n'étaient pas en Vaire (Epidabord, je ne mets pas de pantoufles!).

Et je me suis rappelée la phrase d'un psy : "la télécommande à changer les autres n'a pas encore été inventée"
(au lieu d'inventer de bagnoles à remonter dans le temps, il ferait mieux de se mettre au boulot, le Emmet Brown!)

Non, la télécommande à changer les autres n'existe pas.

C'est à moi de changer pour ne plus croire que les Supermen Nobellisés existent.


Changer.




Et je n'ai plus la force.



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2 commentaires:

  1. Malgré ma (très voire trop) brève expérience de la vie, j'en ai déduit que si on ne peut pas changer une personne (car elle n'a pas envie de changer), soit on l'accepte telle qu'elle est, soit, si on ne peux pas la supporter, on l'évacue de notre cercle de connaissances!
    (C'est ma façon de voir, maintenant, chacun pense comme il veut)

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  2. @orfeo : effectivement. C'est tout le sens de ce billet.
    (soupir las)

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